L’illusionniste – Résumé
Vienne, 1900. L’illusionniste Eisenheim (Edward Norton) fascine chaque soir les foules avec des tours de magie stupéfiants.
En peu de temps, il devient l’homme le plus célèbre de la ville.
Pour le prince héritier Leopold (Rufus Sewell), cette gloire est d’autant plus intolérable que sa fiancée, Sophie (Jessica Biel), fut le grand amour de jeunesse d’Eisenheim.
Décidé à écarter ce rival, le Prince charge l’inspecteur Uhl (Paul Giamatti) d’enquêter sur l’illusionniste pour percer son secret et dévoiler ses impostures…
Réalisateur – Neil Burger.
Durée du film – minutes.
Note – ★★★★☆
L’illusionniste – Critique
Il raconte l’histoire d’un amour impossible et interdit, dans la Vienne impériale, entre Eisenheim, un jeune homme issu d’une famille modeste et Sophie, une jeune fille de la haute société. Le destin les sépare et Eisenheim développe son talent pour la grande illusion au point de devenir l’un des artistes les plus renommés en la matière. Son spectacle attire les foules, éveillant un certain fanatisme. Lorsque le prince héritier vient assister à une représentation en compagnie de sa fiancée, Eisenheim reconnaît en elle Sophie. Le point de départ d’une intrigue à rebondissements…
L’interprétation est convaincante sans pour autant m’avoir époustouflée. Ce qui m’a davantage marquée dans ce film, c’est la qualité de l’univers présenté. La photographie est superbe, poétique, maîtrisée et travaillée dans ses moindres détails. On est bien loin d’une magie de pacotille ponctuée d’abracadabras… L’illusionniste, c’est une ambiance mêlant le rêve au mystère. Le scénario, assez prévisible, se trouve grandement mis en valeur grâce à cette atmosphère ciselée.
Bien sûr, il faut aimer les histoires d’amour car bien qu’il soit question d’une enquête, c’est bel et bien la tension romantique entre Eisenheim et Sophie qui est au cœur du récit.
Les commentaires du blog sont actuellement fermés.
Oh… ben moi je l’ai vu et aussitôt oublié… j’ai juste le souvenir d’un film plat et sans envergure, très prévisible aussi dans son twist final… tellement prévisible qu’il n’en est même pas un je crois. et pourtant comme beaucoup j’adore Edward Norton !
Le problème je pense c’est que j’avais vu Le Prestige de Nolan quelques jours avant…
et merci pour la critique d’Oscar et Lucinda, ça m’a donné envie de le voir !
Je pense que si je n’avais pas autant apprécié les décors et l’esthétique du film, j’aurais eu la même réaction que toi ! Le scénario lui-même n’a pas beaucoup d’originalité.
Un très beau film à voir.
J’ai vraiment adoré l’esthétique de ce film :)