Retrouvez sur cette page le résumé complet de l’épisode 6 de Game Of Thrones, saison 6, écrit par Bryan Cogman et réalisé par Jack Bender. Il s’agit d’un résumé détaillé avec spoilers.
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Game Of Thrones saison 6 épisode 6
Au-delà du Mur
Meera avance à grand peine dans les étendues gelées au-delà du Mur, traînant toujours Bran derrière elle sur un traîneau de fortune. Elle n’a hélas pas la force d’Hodor, qui lui permettrait d’avancer sans difficulté dans la neige épaisse. Bran est toujours plongé dans un état second, perdu dans ses visions qui se multiplient. Il se revoit chuter de la tour de Winterfell, voit sa mère mourir, Daenerys et ses dragons encore bébés, les dragons devenus adultes, le bébé transformé en Autre par le Roi de la Nuit, la décapitation de Ned Stark…
Meera trébuche dans la neige… et Bran revoit le Roi fou, Aerys Targaryen, ordonnant « Qu’on les brûle tous ! » tandis que le feu grégeois menace de dévorer Port-Réal. Il revoit Ned demandant « Où est ma sœur »…
Meera s’écroule dans la neige, incapable d’aller plus loin. Elle caresse le visage de Bran… pour qui les images défilent toujours, en particulier celles qui montrent la ruée des Marcheurs Blancs vers lui. Le Roi de la Nuit a en effet laissé sa marque sur le bras de Bran lors de leur rencontre et les Autres sont à ses trousses. Bran finit par émerger de ses visions et annonce : « Meera, ils nous ont trouvés ». Elle déclare qu’elle est désolée.
Mais alors que les Autres se ruent vers eux, un cavalier bien mystérieux, portant apparemment la tenue de la Garde de Nuit, arrive et met le feu aux morts-vivants avec habileté. Qui est-il pour sauver ainsi Bran et sa compagne de route ?
L’homme a le visage couvert d’une écharpe, il charge Bran sur son cheval et ordonne à Meera de monter, indiquant qu’ils doivent se dépêcher car « Les morts ne se reposent pas ». Les Autres se lancent à la poursuite du cheval, qui file à vive allure…
Dans le Bief
Samwell et Vère font route vers Corcolline, siège de la maison Tarly, une forteresse située à environ 100 lieues de Villevieille, la ville où se trouve la citadelle des mestres. Sam, stressé, ne peut s’empêcher de multiplier les commentaires au sujet de l’environnement qu’ils traversent, très verdoyant. Quand Vère lui fait remarquer sa tendance à bavarder sous l’effet de la nervosité, il lui avoue qu’il ne pensait pas revenir ici après avoir été déshérité et menacé de mort par son père.
Il ajoute qu’il ne se sent pas vraiment le bienvenu et qu’il ne pensait pas avoir l’occasion de présenter le petit Sam à sa famille. Samwell peaufine le mensonge qu’il a préparé : il veut que Vère dise à ses parents que Petit Sam est leur fils. En effet, si les Tarly pensent qu’il s’agit de leur petit-fils légitime, ils n’auront d’autre choix que de les accueillir dans de bonnes conditions.
Samwell explique que l’enfant recevra ainsi une instruction, il apprendra à lire, etc. Vère lui demande ce qu’il a dit exactement à ses parents à propos d’elle. Il explique avoir raconté qu’il l’avait rencontrée dans le Nord. « Tu leur as dit à quel point c’était au Nord ? » Sam paraît gêné : « Ce n’était pas un très grand parchemin », avoue-t-il. Il finit par reconnaître qu’il a dissimulé à son père le fait que Vère était une Sauvageonne… car son père n’aime pas les Sauvageons. A vrai dire, il pensait d’ailleurs que c’est le fait de tuer des Sauvageons qui ferait de Sam un homme, un vrai. Sam conseille à Vère d’éviter le sujet.
Ils finissent par arriver à Corcolline, où quelques employés ont formé une haie d’honneur pour les accueillir. La mère de Sam, Melessa Tarly, vient le serrer dans ses bras, elle semble très émue de le revoir. Talla, la soeur de Sam, est également présente. Sam est stupéfait de la voir car c’est désormais une femme, promise à épouser un homme de la maison Fossovoie, alors qu’il l’avait quittée petite fille. La perspective de ce mariage n’a pas l’air de ravir Talla. Vère est impressionnée par la splendeur de la cour.
Sam fait les présentations : Melessa complimente Vère en lui disant qu’elle est ravissante. Elle est aussi très émue de découvrir Petit Sam, à plus forte raison quand l’enfant lui adresse un large sourire. Elle le prend dans ses bras et estime qu’il a l’air érudit. Sam apprend que son père est à la chasse avec Dickon – le frère de Samwell qui a pris sa place en tant qu’héritier de la maison Tarly. Ils dîneront tous ensemble le soir.
Melessa fait preuve d’une grande chaleur, elle leur propose d’aller prendre un bain et déclare à Vère qu’elle lui prêtera une robe pour le dîner du soir.
A Port-Réal
Le Grand Moineau et Tommen discutent dans le septuaire de Baelor. Le religieux a visiblement une influence énorme sur le jeune homme puisqu’il est parvenu à le convaincre que Margaery devait, comme Cersei, expier ses péchés par une marche punitive dans les rues de Port-Réal. Le Grand Moineau pense qu’elle ne risque rien car la Foi la protégera mais aussi parce qu’elle a su ouvrir son coeur aux Dieux. Tommen se rassure en se disant que Margaery est par ailleurs toujours venue en aide aux pauvres et aux indigents.
Le Grand Moineau conduit ensuite Tommen auprès de sa femme et le laisse seul avec elle. Ils se serrent dans les bras. Tommen demande à Margaery si elle a été maltraitée, elle répond par la négative. Étonnant, quand on sait quel traitement elle a subi ! Elle confie à Tommen qu’elle a hâte de le retrouver, elle pense que leur vie sera encore meilleure qu’avant.
La suite de la discussion est tout aussi étonnante : elle semble avoir changé d’avis au sujet du Grand Moineau, un homme « pas banal ». Elle explique qu’il est difficile d’admettre qui l’on est vraiment et que le religieux l’y a beaucoup aidée. Tommen ne comprend pas pourquoi elle estime avoir dû changer car selon lui, Margaery a toujours été une personne bonne et généreuse, qui aidait les pauvres…
Margaery répond qu’elle aidait les pauvres en faisant en sorte qu’on la voie. Elle « semblait » vertueuse mais ce n’était qu’une fable, elle explique que ça fait du bien de se libérer des mensonges.
« Et Loras ? » demande Tommen, de plus en plus ébahi par l’attitude de sa femme. « J’aime mon frère et je l’aimerai toujours », commence-t-elle, ajoutant que Loras a une belle âme… mais selon elle, il la ternit par des péchés et il doit les expier. Ils doivent tous expier leurs péchés, un jour ou l’autre.
Margaery semble avoir subi un véritable lavage de cerveau qui la pousse à adhérer aux théories du Grand Moineau avec conviction.
A Corcolline
Sam a des étoiles dans les yeux quand il voit arriver Vère, coiffée et élégante dans une robe prêtée par Melessa. Il lui prend le bras pour se rendre au dîner. Lors du repas, l’ambiance est plus que tendue. Randyll Tarly ne pipe pas mot tout en observant son fils, ce qui ne manque pas de mettre Sam particulièrement mal à l’aise. Vère, elle, s’efforce de manger proprement.
Pour tenter de détendre l’atmosphère, Sam fait un compliment sur la viande – qui tombe à plat – et son frère en profite pour se vanter de ses exploits à la chasse. Il lui demande s’ils chassent beaucoup, au Mur. Sam répond par l’affirmative mais lorsqu’il explique qu’ils chassent avant tout des lapins et des écureuils et non du gros gibier, on sent qu’il perd des points sur l’échelle de la crédibilité ! Et quand il ajoute que c’est surtout son ami Jon qui chasse, ainsi qu’Edd… et même Vère, il provoque une certaine gêne. Une femme, chasseuse ? Melessa intervient aussitôt et note que Lord Omble a appris à ses filles à chasser. Talla a l’air d’apprécier l’idée et note que son père aurait sans doute des leçons à apprendre du père de Vère.
Melessa demande à Sam s’il veut un autre morceau de pain. Il accepte bien volontiers… jusqu’à entendre le commentaire cinglant de Randyll : « Pas assez gros ? » Sam refuse le pain qu’on lui propose tandis que sa mère paraît dépitée de l’attitude de Randyll. Sam commence à expliquer que le Lord Commandant l’envoie au Sud et Randyll le coupe : « J’ai lu ta lettre ». Il n’a pas l’air ravi d’apprendre que Sam va devenir mestre puis rentrer à Châteaunoir. Il lui dit qu’il pensait que la Garde de Nuit ferait de lui un homme mais qu’il est resté tout aussi mou et gras qu’avant, plongé dans des livres qui racontent l’histoire d’hommes plus valeureux que lui…
Vère, ne supportant plus d’entendre autant d’âneries à propos de l’homme qu’elle aime, prend sa défense. Elle explique qu’elle a l’a vu tuer un Thenn et un Marcheur Blanc alors qu’ils descendaient vers Châteaunoir. « Ça n’existe pas, ça », pouffe Dickon. Vère insiste, confirmant que Sam sait manier l’épée. Randyll se demande alors comme une femme a pu être témoin de toutes ces choses « en descendant vers Châteaunoir ». Aïe, Vère s’est trahie car s’ils « descendaient », cela signifie qu’ils étaient au-delà du Mur. Randyll veut savoir où elle a rencontré Sam et lorsqu’il apprend que c’était au-delà du Mur, il est furieux de réaliser qu’il a accueilli une Sauvageonne dans ses murs. Ce peuple à qui les hommes font la guerre depuis des siècles…
Randyll montre Corvenin, l’épée en acier valyrien qui se transmet depuis plusieurs siècles dans la famille Tarly. Elle est exposée dans la salle où ils dînent. Il explique que son premier né devait en hériter à sa mort mais qu’il refuse que Petit Sam manie un jour cette épée, pas plus qu’il ne veut le voir devenir Seigneur de Corcolline. Pour lui, cela marquerait la chute de la maison Tarly.
Randyll ajoute qu’il pensait au départ que Vère était une putain de La Mole, ce village connu pour son bordel fréquenté par les hommes de la Garde de Nuit. Il juge « avoir surestimé » Sam qui est selon lui tombé encore plus bas, il est furieux de devoir « manger avec ça » ; il désigne Vère comme si elle n’était qu’un objet. Melessa n’en peut plus d’entendre ces propos, elle se lève en déclarant que Randyll lui a coupé l’appétit et sort en compagnie de Vère et de Talla.
Randyll joue les grands princes en annonçant qu’il accepte, par amour pour Melessa, de garder Vère qu’il emploiera dans les cuisines. « Le bâtard », poursuit-il en faisant référence au petit Sam, pourra être élevé à Corcolline. Quant à Samwell, il devra partir… et dès le lendemain.
Devant son père, Sam retrouve sa place de jeune homme brimé. Il ne peut que baisser les yeux et se taire. Plus tard, il va trouver Vère et s’excuse auprès d’elle de ne pas avoir pris sa défense. Il explique qu’il ne voulait pas que son père les chasse, elle et Petit Sam. Vère lui répond qu’elle ne lui en veut pas, elle en veut surtout à Randyll de traiter des gens bien de cette façon. Quand elle apprend qu’il devra partir à l’aube, Vère vient l’embrasser tendrement. Elle lui dit que Samwell n’est pas celui que Randyll voit en lui. Sam fait ses adieux…
… et revient quelques secondes plus tard. Après – brève – réflexion, il ne veut pas laisser Vère et Petit Sam à Corcolline, il annonce qu’ils s’en vont… et avant de partir, il s’empare de Corvenin. Vère a peur que Randyll ne se lance à leurs trousses pour récupérer la précieuse épée. « Qu’il essaie ! » réplique Sam.
A Braavos
Arya ne perd pas de vue la mission que Jaqen H’ghar lui a confiée : tuer une comédienne qui joue dans un spectacle de rue qui singe les aventures des Stark et des Baratheon à Port-Réal. Cette fois-ci, c’est la mort de Joffrey qui va être jouée lors de la représentation. La foule acclame le – faux – mariage entre Joffrey et Margaery, l’actrice qui joue Cersei est douée et Arya semble éprouver des scrupules tenaces à la tuer.
Pendant que les acteurs jouent la scène où Tyrion tue son père Tywin Lannister, Arya se faufile dans les coulisses et verse le poison dans le rhum de l’actrice. Alors qu’elle s’apprête à ressortir, l’actrice l’interpelle. Elle a remarqué sa présence dans le public et constate que cela fait plusieurs fois qu’Arya assiste à la pièce. Elle raconte qu’elle aussi a été fascinée par le spectacle lorsqu’elle a croisé une troupe la première fois. Si fascinée qu’elle a tout lâché pour la suivre. Arya lui dit qu’elle est douée et l’actrice la conduit dans sa loge en lui disant que pourtant, sa tirade finale est nulle et mal écrite.
Arya lui suggère de la modifier et ajoute que sans elle, cette pièce ne serait qu’une grosse farce. L’actrice lui demande comment il faudrait la modifier. Arya réfléchit et explique que Cersei aime son fils plus que tout au monde, on le lui arrache prématurément. Elle ne devrait pas seulement être triste, elle devrait aussi être en colère, ressentir l’envie de tuer celui qui a fait ça. L’actrice semble touchée par sa lucidité et lui demande son prénom. « Mercy », répond Arya (« mercy » signifie « pitié » et « clémence » en anglais). Lorsque l’actrice lui propose un rôle, elle prétend que son père l’attend et file…
Pendant ce temps, l’actrice retrouve l’ambiance des coulisses, les réflexions grivoises et la jalousie de certaines… A l’instant où elle s’apprête à boire la coupe empoisonnée, Arya arrive à toute allure et la pousse, de telle sorte que la coupe se brise. Sans expliquer son geste, elle dit simplement « Faites attention à celle-là », en désignant la jeune comédienne ayant supposément commandité le meurtre. « Elle veut votre mort ». Puis Arya sort… mais ce qu’elle ignore, c’est qu’elle a été vue par la jeune femme de la Demeure du Noir et Blanc qui assurait sa formation.
Arya a visiblement pris une décision radicale : elle n’est pas capable de tuer pour tuer, de faire abstraction de ses sentiments, d’assassiner des gens en dépit de leur bonté. Elle retourne au bord de l’eau, là où elle avait caché son épée préférée, Aiguille, et la retrouve entre les rochers.
La jeune femme de la Demeure du Noir et Blanc vient faire son rapport à Jaqen, qui est en train de retirer le visage d’un cadavre. Il paraît déçu d’apprendre qu’Arya n’est pas allée au bout car « une fille avait bien des talents ». La jeune femme lui dit « Tu avais promis » et Jaqen répond simplement : « Fais en sorte qu’elle ne souffre pas ». Visiblement, Arya est maintenant devenue une cible pour les Sans-Visage… Mais elle ne le sait pas encore et, munie de son épée, est revenue se coucher dans ce que l’on suppose être la Demeure du Noir et Blanc. Elle souffle la chandelle…
A Port-Réal
Jaime Lannister et Mace Tyrell ont réuni des hommes et, tous en armure, ils se préparent à affronter la Foi militante. Pendant ce temps, le Grand Moineau annonce à la foule que Margaery se présente devant eux en pécheresse pour expier ses fautes. Sauf qu’elle n’a pas le temps d’expier grand-chose car la foule s’écarte pour laisser passer les hommes armés de Jaime et Mace. Olenna arrive à son tour, à point nommé, pour assister à toute la scène.
Le Grand Moineau salue Jaime et Mace… et Jaime annonce qu’ils sont venus récupérer la Reine ainsi que Loras Tyrell. Le religieux répond qu’il n’a pas l’autorité nécessaire pour les lui remettre, tout comme Jaime n’a pas l’autorité nécessaire pour les prendre. La foule approuve. Jaime monte les marches sur son cheval et ordonne que l’on mette le Grand Moineau en joue. Il annonce qu’il agit au nom de Tommen Baratheon et le religieux rétorque que son autorité n’est pas reconnue par les Dieux. Jaime annonce à l’homme que tous les religieux mourront avant que Margaery n’ait le temps de descendre la rue.
L’homme, avec son flegme habituel, répond que mourir pour son Dieu est ce qu’ils désirent tous le plus ardemment. Puis, à la surprise générale, il annonce qu’aucune marche d’expiation n’est prévue… car Margaery leur a amené un nouveau converti. On ouvre alors les portes du septuaire et en sort Tommen lui-même, accompagné par des membres de la Garde Royale. Jaime paraît atterré et échange un regard avec Olenna, qui comprend que leur plan tombe à l’eau… Le Grand Moineau indique que cela marque le début d’une alliance entre la Couronne et la Foi, tandis que Tommen vient prendre la main de Margaery face à la foule : il fait part de sa volonté de rendre au royaume des Sept Couronnes sa gloire passée et le peuple exulte.
Plus tard, Jaime est conduit devant le Trône de Fer et se voit destituer de son rôle de Commandant de la Garde Royale par son propre fils. Tommen lui dit qu’attaquer la Foi, c’est attaquer la Couronne. Jaime lui rappelle qu’il était déjà Commandant avant même que Tommen ne soit né. Tommen, malgré une légère hésitation que l’on sent poindre derrière ses propos, campe sur ses positions. Jaime demande avec ironie ce qui va lui arriver : va-t-il devoir marcher tout nu dans les rues de Port-Réal ou va-t-il être enfermé au septuaire pour tout apprendre de la grâce divine ?
Tommen lui annonce qu’il reconnaît ses « bons et loyaux services »… mais qu’il ira les exercer dans une autre ville. Jaime semble avoir toutes les peines du monde à contenir son émotion face à son propre fils qui le chasse de Port-Réal.
Aux Jumeaux
Retour d’un vieil ennemi… Walder Frey ! Il est furieux contre ses fils qui lui annoncent qu’ils ont perdu le contrôle de Vivesaigues, le fief de la maison Tully, repris par Brynden Tully « Le Silure ». Il reproche à ses fils d’avoir laissé le Silure s’enfuir des Noces Pourpres, de ne pas avoir réussi à le tuer et de l’avoir laissé reprendre Vivesaigues… Il ordonne de reprendre la ville au plus tôt. Ses fils lui font remarquer qu’ils sont en infériorité numérique mais le vieux Walder ne veut rien savoir !
Ses fils ajoutent que d’autres maisons se sont rebellées, lancent des raids contre eux, que Vivesaigues peut tenir un siège pendant un an… Bref, les Frey ne sont pas vraiment en position de force. Walder enrage, il estime que tout le pays se moque de sa famille et qu’il ne mourra pas tant que les gens « ne ravaleront pas leurs rires ». Il réitère son ordre : il faut qu’ils reprennent Vivesaigues. Et il a un levier pour faire pression : Edmure Tully, le pauvre Edmure Tully, qui a épousé une Frey et est retenu prisonnier depuis les Noces Pourpres.
A Port-Réal
Jaime annonce à Cersei qu’on l’envoie aider les Frey à reprendre Vivesaigues. Cersei tente de relativiser la situation, elle lui dit qu’il faut mieux qu’il soit loin de Port-Réal avec une armée qu’emprisonné au septuaire de Baelor. Sauf que Jaime n’a pas du tout l’intention d’aller dans le Conflans. Il veut que le bon vieux Bronn reprenne du service et compte lui donner un énorme sac d’or… pour que Bronn engage des tueurs et aille régler son compte au Grand Moineau. Il ne supporte pas l’idée d’avoir – symboliquement – « perdu » son fils.
Cersei le dissuade d’agir ainsi car elle pense que s’il tue le Grand Moineau, il mourra… Elle lui ordonne de prendre la tête de ces soldats et de montrer à tout le monde comment se comportent les Lannister face à leurs ennemis et de « reprendre ce fichu château ».
Jaime a peur car elle doit être jugée prochainement, il ne veut pas l’abandonner. Elle le rassure en expliquant que ce sera un duel judiciaire et qu’elle aura La Montagne pour se battre pour elle. Puis elle l’embrasse fougueusement, lui rappelant que rien ne les séparera jamais.
Au-delà du Mur
L’homme qui a sauvé la vie de Meera et de Bran est en train de préparer un lapin pour nourrir tout le monde. Meera lui demande pourquoi il les a secourus. Il explique que « la Corneille l’a appelé ». « Il est mort », s’étonne Meera. « Il vit à nouveau », corrige l’homme. A ces mots, Bran s’éveille. L’homme lui dit que la dernière fois qu’il l’a vu, Bran était encore ce petit garçon qui escaladait les tours de Winterfell. « Qui êtes-vous ? » demande Bran.
L’homme dévoile alors son identité : il n’est autre que Benjen Stark, l’oncle de Bran, qui avait disparu lors d’une expédition au-delà du Mur. Benjen explique qu’il conduisait une patrouille à la recherche des Autres… lorsque les Autres leur sont tombés dessus. Benjen s’est fait transpercer avec une épée de glace. Alors qu’il commençait à se transformer, les Enfants de la Forêt sont intervenus pour interrompre le sortilège, en lui plantant une lame de verredragon en plein cœur.
Benjen annonce à Bran que désormais, Bran est la Corneille à Trois-Yeux. Il doit apprendre tout ce qu’il peut avant l’arrivée du Roi de la Nuit… et quand celui-ci entrera dans le monde des Hommes, Bran sera prêt.
Sur la mer Dothrak
Daenerys fait route avec Daario Naharis aux commandes de son khalasar, ils sont à une semaine de marche de Meereen. Elle se demande combien de navires seront nécessaires pour transporter son khalasar, les Puînés, les Immaculés… « 1000 », estime Daario. « Qui en a autant ? » « Personne », répond l’homme. Elle ne paraît pas découragée pour autant. Ils projettent de rentrer à Meereen puis de prendre la mer pour Westeros.
Soudain, l’attention de Daenerys est attirée par quelque chose et elle s’éloigne, seule, du khalasar.
Daario, finissant par trouver son absence inquiétante, décide d’aller la chercher… lorsque soudain, Drogon fait son apparition en volant, Daenerys juchée sur le dragon. Elle se pose et s’adresse à la foule, déclarant qu’un Khal choisit toujours trois sang-coureurs pour chevaucher à ses côtés (qu’il appelle « Sang de mon sang », d’où le titre de l’épisode). Elle déclare à la foule qu’elle n’est pas un Khal et ne choisira donc pas trois hommes… Elle choisit toute la foule ! Elle explique qu’elle leur demandera plus que ce qu’un Khal pourrait leur demander. Chevaucher les chevaux de bois sur la mer salée (les Dothrakis ont peur de la mer), tuer ses ennemis, détruire leurs maisons… et l’aider à conquérir le Trône. La foule exulte et l’acclame…
Tous les résumés de Game Of Thrones saison 6
Episode 1 : La femme rouge
Episode 2 : A la maison
Episode 3 : Briseur de serments
Episode 4 : Le livre de l’étranger
Episode 5 : La porte
Episode 6 : Sang de mon sang
Episode 7 : L’homme brisé
Episode 8 : Personne
Episode 9 : La bataille des bâtards
Episode 10 : Les vents de l’hiver
Consultez aussi un résumé entier de la saison 6 si vous voulez connaître en un seul article les rebondissements de la série !
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