Découvrez ci-dessous un résumé détaillé de The Handmaid's Tale saison 3 épisode 11, un épisode écrit par Yahlin Chang et réalisé par Deniz Gamze Ergüven. Ce récap complet comporte des spoilers car il raconte tout ce qui s'est passé dans l'épisode.
La Servante Écarlate saison 3 épisode 11
Le soutien de Joseph Lawrence
Le décompte des muffins réceptionnés par Beth et June est sans appel : on peut l'aider à faire sortir 52 enfants de Gilead. Elle ne dispose que d'un véhicule de 10 places, le camion auquel le Commandant Lawrence a accès. Un sacré défi de trouver comment faire rentrer tout ce petit monde dans un si petit espace ! June a en tête ce que lui dirait sa meilleure amie Moira : ne pas partir en vrille.
Soudain, elle entend des cris dans la maison... et découvre qu'Eleanor est en train de menacer Joseph avec une arme à feu. Elle l'accuse de lui mentir quand il affirme qu'il l'aime. June essaie aussitôt de la calmer, de lui rappeler qu'elle ne veut pas devenir une meurtrière. Eleanor lui assène la dure réalité : elle a été violée par Joseph, "tu as été brutalisée, ma pauvre, à cause de lui"...
June lui parle alors très calmement : elle comprend son envie de tuer Joseph, car elle la partage... mais dans la vie, on ne fait pas toujours ce que l'on veut et il faut savoir se contrôler. Ils sont tous responsables de ce qui se passe car ils ont tous le pouvoir d'empêcher certaines choses... mais actuellement, elle a besoin que Joseph reste en vie dans le cadre de son plan.
June lui ordonne de poser son arme et la rassure en lui promettant que ça va arranger les choses. Il faut donner un sens aux situations et elle a besoin de l'aide d'Eleanor pour donner un sens à tout ça. Ses paroles fermes et rassurantes semblent avoir un effet apaisant sur son interlocutrice, qui finit par lâcher son arme et fondre en larmes. June la réconforte.
L'incident a ébranlé Joseph. Quand June le rejoint un peu plus tard dans la soirée, elle le trouve en train de boire un verre d'alcool et l'informe qu'Eleanor a fini par se calmer. Il lui propose un verre et, tout en la surnommant "la reine de glace", la remercie pour ce qu'elle a fait. June en profite pour l'informer qu'elle a trouvé les enfants qu'ils pourront aider à quitter Gilead, et les Marthas prêtes à les aider dans cette entreprise risquée.
Mais Joseph ne s'attendait pas à un tel nombre et lorsque June annonce qu'il y a potentiellement 52 enfants à emmener au Canada, il croit d'abord avoir mal entendu. Puis il lui répond qu'elle est complètement folle. Sans se départir de son calme, June lui dit qu'il a une dette envers elle, qu'il doit l'aider à réparer tout le mal qu'il a créé en étant l'artisan du régime de Gilead.
Joseph se doute que de son côté, June ne partira pas, il affirme que c'est regrettable que Gilead ait sous-estimé le pouvoir de l'amour maternel... Mais désormais, il a lui aussi un combat à mener : faire sortir sa femme du pays. Et parce que c'est important pour lui, il promet à June qu'il essaiera de se procurer davantage de camions. "Ce serait drôle que vous finissiez par être un héros, non ?" glisse June en souriant. "N'est-ce pas ?" répond-il.
Un voyage pour récupérer Nichole
Serena s'apprête à partir en voyage. Rita lui a préparé ses bagages, en essayant de faire au mieux, et elle en est reconnaissante. Elle affirme être en bonne voie pour récupérer Nichole. "C'est difficile de convaincre le gouvernement, nous adoptons une approche plus personnelle. Cette négociation devrait être fructueuse".
Rita se permet de lui demander si elle est sûre que sa décision est la meilleure pour Nichole. Serena ne répond pas franchement, mais lui dit : "Merci d'aimer autant Nichole. Puisse le Seigneur te bénir". Fred Waterford passe ensuite la chercher dans sa berline noire, lunettes de soleil sur le nez... et les deux femmes se séparent avec beaucoup d'émotion.
Une fois la portière refermée, Serena échange une prière avec son mari et le complimente sur la voiture, sans que l'on sache si elle est sérieuse ou ironique : "Elle te va bien", commente-t-elle. Fred répond qu'il est heureux de conduire à nouveau et s'offre le plaisir d'une accélération.
Une tentative de découragement
Pendant ce temps, Beth vient informer June "qu'elles sont là". Elle ne précise pas qui, et lui donne l'instruction de répondre simplement aux questions, sans trop en dire, sans rien demander. Dans le sous-sol, elle se fait interroger sur son projet par des Marthas : organise-t-elle vraiment une évasion d'enfants ? Qui lui a demandé de le faire ? Est-ce son idée ?
Les Marthas se mettent alors aussitôt à la décourager, lui disant que c'est une mauvaise idée, lui reprochant de les avoir court-circuitées, la menaçant même de l'empoisonner puis de faire croire à un suicide. Agacée par le reproche qu'elles lui font de ne pas les avoir consultées, June leur demande alors leur avis sur son plan. "Me permettez-vous de sauver 52 enfants de la torture, de la Rédemption et du viol ?" On lui répond que "personne n'acceptera" de l'aider.
Oubliant la mise en garde de Beth, June leur rétorque que contrairement à ce qu'elles croient, des Marthas ont déjà accepté de lui apporter leur aide... et son Commandant fournira les véhicules, chose qu'il a déjà faite par le passé. "T'attrapes le train en marche et tu te prends pour Che Guevara", lui reproche-t-on. "Pourquoi empêcher ces enfants d'avoir une vie meilleure ?" rétorque June.
Beth se porte garante de la fiabilité de June, rappelant qu'elle a sauvé pas mal de monde, dont "les 5 de Chicago"... sans compter qu'elle sait garder son calme. Mais les Marthas lui rappellent qu'il y a "une cargaison qui arrive par avion" la semaine suivante.
June comprend qu'il y a d'autres intérêts en jeu, elles ont sans doute simplement peur que l'activité de June ne perturbe leurs propres projets. La Servante promet alors qu'elle attendra la livraison de cette cargaison pour agir afin de ne pas interférer. Les femmes souhaitent à tout prix éviter un durcissement de la sécurité avant cette mission qu'elles préparent depuis longtemps.
Elles préviennent June que son plan a toutes les chances d'échouer, et qu'elles ne soutiendront pas les Marthas qui voudront l'aider. Cette décision sera la leur, et la leur seulement. Elle sera responsable de leur mort si ça devait se terminer ainsi. Cependant, les femmes indiquent aussi qu'elles ne lui mettront pas de bâtons dans les roues. Elles se séparent en se souhaitant mutuellement une bonne continuation.
Fred et Serena Waterford sur les routes
Serena et Fred Waterford sont sur des routes de campagne, de la musique dans la voiture... Il se félicite de l'idée qu'elle a eue d'aller au Canada par la route. Il retrouve un sentiment de liberté. "Ça semblait plus adapté vu les circonstances", commente Serena en regardant le paysage qui défile sous ses yeux. C'est visiblement elle qui a organisé toute l'expédition.
Il lui demande si elle est stressée et elle reconnaît l'être un peu. "Je suis fier de toi. Tu gardes ton sang-froid. M. Tuello ne savait pas à qui il avait affaire", la félicite Fred. "Les Américains ont toujours sous-estimé notre dévouement à la cause", affirme Serena.
Elle lui parle alors du paysage qu'ils traversent, et de ce qu'il était avant : des usines vétustes, de la pollution partout. Depuis, la nature a repris ses droits, une chose dont ils peuvent être fiers. Soudain, un jingle radio les informe qu'ils sont sur "la radio de l'Amérique libre". Fred coupe aussitôt le son.
Il lui suggère soudain de prendre le volant. Après tout, il n'y a personne pour les voir ! Elle finit par accepter malgré sa réticence initiale et se retrouve rapidement au volant de la voiture, la capote baissée, filant à toute allure sur la route avec un profond sentiment de liberté. "C'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas", glisse Fred.
Ils finissent par arriver dans une très belle maison, où on les accueille en les traitant comme des invités de marque. La famille qui les reçoit a des enfants, bien élevés à en croire Serena, et le couple de parents est aidé dans leur éducation par les grands-parents qui partagent leur vie.
Le plan de June compromis
Chez les Lawrence, June s'informe auprès de Beth sur la nature de la mystérieuse "cargaison" dont certaines Marthas supervisent l'arrivée. Beth ne sait rien sur le sujet, et c'est préférable selon elle. Cependant, elle est tout de même capable de renseigner June au sujet de Billy, un homme que les Marthas ont mentionné.
Elle explique qu'il est barman chez Jézabel, c'est lui qui coordonne le marché noir et c'est Beth qui l'a choisi. June lui demande si elle a confiance en lui et Beth répond qu'elle a confiance en son amour de l'argent :)
Plus tard, elle constate que Mme Lawrence n'a pas mangé son petit-déjeuner, elle a laissé le plateau intact devant sa porte. June demande à Sienna, l'autre Martha du couple, si elle a vu le Commandant Lawrence. Réponse négative.
Saisie d'un doute, June se précipite vers le bureau du Commandant... et découvre que tous ses papiers ont été passés à la déchiqueteuse. Et Beth l'informe que la voiture n'est plus là. Les Lawrence semblent avoir fui. June découvre un calepin portant un seul mot : "Désolé".
Elle est furieuse mais se met aussitôt à fouiller les tiroirs, dans l'espoir de trouver une solution. Elle y déniche un téléphone et essaie de s'en servir mais un opérateur prend l'appel dès qu'elle décroche, lui disant "Jour béni, Commandant Lawrence, qui cherchez-vous à joindre ?" Sous Gilead, on ne passe pas d'appel en toute autonomie !
Beth est convaincue qu'elles sont fichues mais June pense qu'elles ont au contraire un jour ou deux devant elles pour s'organiser avant que l'on ne réalise que le Commandant n'est plus là. Beth est persuadée que dans le meilleur des cas, on la renverra chez Jézabel.
Voilà qui donne une idée à June : et si Beth la mettait en contact avec Billy ? Ils pourraient profiter du fait que les Marthas reçoivent une cargaison clandestine pour utiliser l'avion... et y mettre les enfants lors du voyage de retour de l'appareil vers le Canada.
June, désireuse de se débarrasser temporairement des Marthas, leur ordonne de la laisser seule dans le bureau du Commandant.
Si Gilead n'était pas là...
Le dîner de Fred et Serena Waterford chez leurs hôtes prend fin. Elle refuse un café et préfère s'isoler. Fred, pressentant que quelque chose ne va pas, la rejoint. "Tu es inquiète de ramener Nichole ici", essaie-t-il de deviner. Elle affirme que ça va et lui rappelle l'époque où ils vivaient dans un petit appartement au-dessus d'une boulangerie. Ils plaisantent sur le fait que c'est grâce à des pains au chocolat que Fred l'a convaincue de rester avec lui.
C'est là qu'elle a écrit son premier livre. "Tu écrivais très bien", commente Fred. Elle lui demande alors de but en blanc : "Comment as-tu pu me priver de ça ?" Il s'excuse, affirmant qu'il ne savait pas que ça allait être si douloureux pour elle. Serena et lui se mettent alors à imaginer une vie sans Gilead : elle aurait peut-être fait carrière à la télévision, il serait devenu son manager... Serena se dit qu'il lui en aurait sûrement voulu et qu'ils auraient fini par divorcer... pour qu'il puisse épouser une femme fertile.
Il dément, persuadé que c'est elle qui l'aurait quitté au profit d'un mari fertile. Elle reste silencieuse et finit par lui dire : "Tu dis ça parce qu'on est ici". Ils sont loin de leur quotidien, et ça donne des idées à Fred : il émet l'hypothèse de se retirer du rang, d'opter pour une vie plus tranquille dans une ville comme celle où ils se trouvent. Fred affirme qu'il se moque de l'apparat mais Serena est convaincue qu'il adore Washington et lui rappelle qu'ils ont travaillé très dur avec les Winslow.
Fred rétorque qu'il se fiche des Winslow et qu'il veut seulement voir leur fille grandir et faire ses premiers pas. La discussion semble avoir restauré une forme d'intimité entre eux et ils font l'amour avec tendresse et passion.
Un mort chez Jézabel
Pendant ce temps, June essaie toujours de réfléchir à une solution malgré la disparition du couple Lawrence... quand soudain, elle entend la voix de Beth qui demande à Sienna de raccompagner Eleanor dans sa chambre... et la voix du Commandant qui réclame à Beth une tasse de thé.
Contre toute attente, les Lawrence sont de retour. June demande aussitôt des explications à Joseph, qui affirme avoir eu un "cas de conscience". June lui reproche de ne pas avoir de parole, alors qu'il lui avait fait des promesses. Il lui répond qu'elle aurait dû savoir que sa femme avait plus de valeur à ses yeux que June elle-même.
Elle devine la vérité : Lawrence a bel et bien essayé de traversé la frontière, et il n'a pas réussi... ce qui fait qu'il est revenu. Il confirme que c'est le cas. Il faut de nouvelles autorisations pour franchir la frontière, et il ne les a pas. "Je ne pense pas que ce soit un oubli", commente-t-il, conscient qu'il perd de plus en plus d'influence au sein du régime de Gilead. Il affirme qu'il ne pourra même pas faire sortir une souris du pays.
Il est persuadé que ses véritables intentions ont été démasquées, et que ce n'est plus qu'une question de temps avant qu'on l'arrête. Face à sa terreur, June lui ordonne de se ressaisir. Il promet d'essayer de lui épargner le pire : finir dans les Colonies... ou chez Jézabel. Il affirme qu'il essaiera de lui trouver un Commandant gentil. June coupe court à ses ruminations et lui ordonne de la conduire en ville.
C'est ainsi qu'elle se retrouve chez Jézabel, vêtue avec élégance, portant du rouge à lèvres et des talons hauts... tandis qu'il jure de l'attendre dans sa voiture. Elle va s'installer au bar et demande au serveur si c'est lui, Billy. Elle se présente comme une amie de Beth. Il lui demande si elle va bien, elle répond en expliquant qu'elles ont besoin d'aide. "On a tous besoin d'aide", déclare Billy.
June lui demande s'il a par hasard accès à un avion-cargo. Veut-elle une place ? Elle explique qu'elle en veut plusieurs : pour Beth, le Commandant, sa femme... et 52 enfants. Il est éberlué. Elle assure qu'elle a de l'argent. "Pas assez", répond Billy. Elle explique alors ce qu'elle a en tête : elle vit dans une maison remplie d’œuvres d'art. Picasso, Cézanne, Rembrandt, Pissarro... Billy devine qu'elle vit dans la même maison que Beth.
Il explique que le Commandant Lawrence a dévalisé tous les musées quand le régime de Gilead est entré en vigueur. Après avoir refusé sa proposition, il accepte finalement d'y réfléchir, motivé par l'appât du gain. June s'apprête à s'en aller... quand elle est reconnue par quelqu'un, qui l'interpelle en l'appelant "DeJoseph". C'est ainsi qu'elle se retrouve nez à nez avec le Commandant Winslow.
Comment justifier sa présence chez Jézabel ? Comment répondre à Winslow qui veut savoir pourquoi le Commandant Lawrence n'est pas avec elle dans une chambre ? June affirme que le Commandant Lawrence aime bien qu'elle vienne ici sans lui... et qu'elle lui raconte ensuite ce qu'elle a fait. Il paraît surpris. "Vous avez tous vos petits travers", suggère June. "Et si on te donnait quelque chose à lui raconter", propose alors Winslow. Il lui ordonne d'aller s'allonger sur le lit.
June sait qu'elle n'a pas le choix si elle veut sauver sa peau. "J'ai déjà fait ça. Je peux recommencer. Comme toutes les autres fois", se convainc-t-elle, ajoutant qu'elle doit prendre ça comme un travail. Winslow lui ordonne de s'asseoir et de retirer sa culotte. Elle obtempère tout en essayant mentalement de se détacher de la situation. Il veut qu'elle garde ses chaussures à talons, qu'elle s'allonge sur le ventre...
Mais soudain, June décide que cette fois-ci, elle ne se soumettra pas. Quand elle l'entend approcher, brûlant d'excitation, elle le frappe... et ils se mettent alors à lutter. Il commence par prendre le dessus, la plaquant au sol et lui frappant la tête par terre tout en tentant de l'étouffer d'une main. Mais June s'empare d'un stylo qui traîne par terre et s'en sert comme arme, le poignardant avec sans relâche jusqu'à ce que le sang jaillisse.
Elle saisit une statuette visiblement lourde sur un meuble et s'apprête à lui asséner le coup fatal quand il balbutie : "Mes enfants"... Pas la phrase à dire pour empêcher le passage à l'acte de June, qui lui abat la statuette sur le crâne. Winslow est mort.
L'adrénaline retombe et June semble brutalement réaliser ce qu'elle a fait. C'est alors qu'on frappe à la porte.
C'est le service de nettoyage. Comme personne ne répond, la Martha ouvre la porte... et tombe nez à nez avec la scène de crime. Aussitôt, elle entre dans la pièce et referme la porte derrière elle.
Elle s'approche de June, essaie de la sortir de l'état de choc dans lequel elle semble tombée, et lui dit qu'il y a un ascenseur de service au bout du couloir à gauche. Elle peut s'échapper par là. "Ils m'ont arrêtée à Chicago. Je t'ai vue près des cages. Tu m'as sauvée", dit-elle à June. Il est temps pour la Martha de lui renvoyer l'ascenseur (c'est le cas de le dire !).
Pieds nus, June se dirige vers l'ascenseur, une carte d'accès appartenant à la Martha à la main. Elle croise deux personnes, le Commandant ne la remarque même pas. Elle parvient à rejoindre le Commandant Lawrence qui, fort heureusement, l'attend toujours dans la voiture. "Démarrez", lui ordonne-t-elle.
Faire confiance à Mark Tuello
Au Canada, Fred et Serena se rendent dans une station-service abandonnée. Serena est une vraie boule de nerfs tandis que Fred semble s'impatienter dans la voiture. Un véhicule les rejoint. C'est Mark Tuello. Après les avoir salués, il explique qu'il connaît un endroit sûr, non loin de là, où ils pourront discuter tranquillement.
Il leur ordonne de les suivre, Serena semble encore plus stressée. Fred démarre et s'arrête un instant pour demander à sa femme si elle connaît bien Tuello et si elle lui fait confiance. "Oui", assure-t-elle.
Mark Tuello les guide sur une route qui serpente parmi les arbres. Fred s'étonne que l'endroit ne soit pas si proche que Tuello le laissait entendre mais le véhicule finit par s'immobiliser, au milieu de ce qui ressemble à une forêt. Lorsque Fred sort de la voiture, il est énervé : "Vous trouvez que c'est juste à côté ?" s'emporte-t-il. Il demande où ils se trouvent.
Tuello lui annonce alors : "Commandant Waterford, vous avez franchi la frontière du Canada". De nombreux véhicules militaires arrivent, Fred ordonne à sa femme de remonter dans la voiture mais ils n'en ont pas le temps.
"Nous vous arrêtons pour crimes de guerre et pour crimes d'agression en violation des traités internationaux sur les droits de l'homme et de la loi internationale". Les militaires s'emparent de Fred et de Serena. Tuello continue son discours, les informe que pendant leur garde à vue, ils pourront être amenés à être transférés devant la Cour pénale internationale.
Serena et Fred sont séparés, il crie son nom tandis que la liste de ses crimes continue à être prononcée à l'arrière-plan. Et elle est longue. Viol, esclavage... Le stress de Serena était-il si anodin ? A-t-elle organisé la capture de son propre mari dans l'espoir de revoir l'enfant qu'elle considère comme sa fille ? Ou bien Mark Tuello l'a-t-il trahie ?
Se préparer au pire
Chez Jézabel, les Marthas effacent les traces du meurtre, nettoyant soigneusement la chambre de fond en comble. Pendant que June, chez Lawrence, se prépare, elles emmènent le corps du Commandant Winslow dans le grand incinérateur du club Chez Jézabel et le brûlent, avec toutes les preuves de sa disparition.
Le Commandant Lawrence vient apporter une arme à June. "On va venir nous chercher", annonce-t-il. Malgré l'imminence de la menace, June semble sereine et s'empare du revolver.
Résumés de La Servante Écarlate saison 3 | The Handmaid's Tale
Episode 1 : Nuit (5 juin 2019)
Episode 2 : Marie et Martha (5 juin 2019)
Episode 3 : Utile (5 juin 2019)
Episode 4 : Béni soit l'enfant (12 juin 2019)
Episode 5 : Appelant inconnu (19 juin 2019)
Episode 6 : Foyer (26 juin 2019)
Episode 7 : Sous son œil (3 juillet 2019)
Episode 8 : Inapte (10 juillet 2019)
Episode 9 : Héroïque (17 juillet 2019)
Episode 10 : Témoin (24 juillet 2019)
Episode 11 : Menteurs (31 juillet 2019)
Episode 12 : Sacrifice (7 août 2019)
Episode 13 : Mayday (14 août 2019)
Sommaire : tous les résumés des épisodes de La Servante Ecarlate
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